• Ecole première : fin de "l'adaptation"

    Avant de seguir contando, un petit aparté pour glisser sur cette page l'adresse du blog de Corenthin. N'hésitez pas à faire un tour. Il est moins bavard que moi!

    http://corenthin-argentina.eklablog.com

     

    Jueves 28 : On peut dire que peu à peu nous commençons à trouver notre rythme de croisière. Tout n'est pas en place, loin de là, mais on commence à s'éloigner des zones de turbulence. Despacito. Cellulaire OK, visa de Géraldine en attente des dernières formalités. J'ai pu récupérer l'extrait de casier judiciaire argentin et suis en attente de la réponse d'une traductrice pour l'extrait français apostillé. Aujourd'hui, journée normale donc, avec un peu de travail à la fac, enfin. J'ai effectué quelques tâches liées à Grenoble, mais ai aussi commencé à lire un peu. En cours de matinée, je prends connaissance d'un mail de ma banque... française, m'indiquant qu'il ne sera pas possible de faire des transferts internationaux par internet. Je m'inquiétais de ne pouvoir entrer le code de ma banque locale, et pour cause. Les transferts vers celle-ci se font... en agence. Je devrai recevoir des formulaires à renvoyer ensuite à chaque virement que je veux faire. Ca vire au gag cette affaire et je commence à croire qu'on ferait mieux de se passer des banques. Affaire à suivre. L'après-midi je pars tôt, très tôt même. Je profite du fait que Mariela passe chercher ses enfants pour aller avec elle, en voiture, jusqu'à Lacroze -la rue qui rejoint les deux grands axes partant de La Plata et qui passe pas loin de chez nous-. De travail il ne sera pas question : nous allons faire des courses avec Corenthin. 3h entre l'aller et le retour en bus, et le remplissage du chariot. Nous rentrons les épaules écrasés par le poids de nos deux sacs à dos. Il va falloir que je trouve une alternative à cette manière de procéder.

    Viernes primero de marzo : Nouvelle journée normal. Tant mieux. Quand je dis normal, c'est sans plus d'énervements que d'habitude. Car le lever des enfants est difficile, entre fatigue, répétition sans fin des mêmes choses (Corenthin, habille toi), habillage du petit pendant que Géraldine se prépare, préparation des affaires d'école, puis du petit déjeuner, avant de me préparer moi aussi. Bagarre avec les enfants pour qu'ils mangent, puis disputes entre eux... Bref, une matinée normale :-) Dans la course, je n'ai pas vérifié les affaires de Corenthin : c'est son job. Mais le chico a oublié sa trousse et je m'en suis aperçu en lui demandant un stylo devant l'école (pour écrire mon numéro de tel, pour ses copains). J'en suis quitte pour faire un saut à la tienda du coin acheter un boli azul en catastrophe. De retour à la maison, je vois sur mon portable un message de Mariela proposant de m'amener à la fac : RDV au bout de Lacroze la rue qui sépare les deux grands axes partant de La Plata (je l'ai déjà écrit il y a quelques lignes, mais dans le flot des mots vous avez sans doute oublié). Je l'ai vu tard, et lui répond, mais elle est toujours là bas. Je file donc au pas de course et la retrouve à un point intermédiaire. Cool! Je passe le reste de la matinée à lire... De la science, que croyiez vous? Rebelote après un repas à la cafétéria d'en face. Je quitte assez tôt mon bureau sans fenêtre pour aller chercher le pintor d'Emelun : chouette! Je file aussi chercher un peu de matériel scolaire (para la plastica... faltan hojas, fibrones especiales y otras cosas que no usamos en fisica!). Fin de journée dans le bus, dans le parc à me faire suer, et à la maison pour un dernier tarot avec Géraldine et Corenthin. Ca y est, le week-end débute.

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