• De Rio à Buenos Aires

    Miércoles 17 : Cette fois, c'est un vrai lever aux aurores que nous nous "offrons". 6h20, avant mon réveil et même avant les enfants. C'est dire! Nous en profitons pour boucler les derniers sacs, faire les dernières vérifications -ça suffit les dons-, préparer les enfants, puis déjeuner. Déjeuner... express, 15' top chrono, incluant l'impression du billet d'avion (voir page précédente) et une dernière négociation de taxi. Pour la petite histoire, nous avons payé 30 reals de plus un tour du samedi et le dueño de l'hôtel a négocié 30 reals de remise sur le taxi. Embêté, il m'annonce que le prix est de 60 en fait et non 50. 10 reals! 3 euros... Sachant en plus que nous avons payé le double en arrivant sur Rio... Vous me voyez négocier pour 3 euros? Je lui dit que peu importe, mais pour lui, si c'est important. Parfait pour moi est la conclusion.
    Mine de rien, nous sommes parfaitement dans les temps, même si je dois pour cela finir mon petit déjeuner en route. J'avais feinté pour le café: pour ne pas me brûler, je l'ai pris avec un glaçon. Autant dire que ce dernier n'a pas fait long feu dans le breuvage. Des derniers remerciements chaleureux à l'équipe de l'hôtel et nous filons à travers les rues cariocas, direction l'aéroport. Nous saluons en passant Monsieur perché sur le Corcovado, qui nous suit du regard. Nous jetons un oeil au maracana en passant, à la feiria, aux plages du nord que nous ne sommes pas aller tester (moins belle et pas assez de temps), et nous voila sur l'ile du gouverneur, là où décollent les avions. L'ile était l'ancienne résidence du gouverneur, Pedro I, puis II avant d'accueillir ces objets volants identifiés qui vont nous ramener sur l'Argentine.
    A l'aéroport, nous avons un petit coup de frayeur en voyant deux vols pour Buenos Aires annulés. Mais tout va bien pour le notre. Enregistrement? RAS. Enfin presque : idiot que je suis j'ai oublié une fourchette dans la salade de fruits que nous avons emportée. J'ai juste droit à un "c'est interdit" suivi de la confiscation de cette arme blanche; j'acquiesce, tête basse, et tout rentre dans l'ordre. Nous comblons ensuite le temps d'attente par un petit tour des boutiques de l'aéroport, et par l'avancée du blog en ce qui concerne bibi. Tout s'enchaine comme sur des roulettes. C'est bizarre, mais on ne va pas s'en plaindre. Nous décollons dans les temps, et admirons alors une dernière fois la baie mythique et son pain de sucre. Magique. L'atmosphère un peu trouble lui donne même un aspect un peu mystique (ne pas oublier le s).
    Le vol aussi se passe sans encombre, avec le soleil en permanence. Nous survolons quelques paysages idyliques, des côtes brésiliennes puis uruguayennes jusqu'au Rio de La Plata et Buenos Aires.
    Sur la capitale nous sommes un peu surpris. Nous avons laissé la ville en hiver, par temps de pluie, et nous la retrouvons en mode printemps -beau et relativement chaud (19°)-. Le chauffeur du taxi nous amenant au terminal de bus a vite fait de doucher notre enthousiasme : demain il pleut et les températures baissent. L'hiver n'est pas parti, il nous a fait une blague et s'est caché quelques jours.
    16h, nous arrivons sur Gonnet à l'heure à laquelle je le pensais. Parfait de bout en bout. Sur place par contre, tout s'enchaine : rallumer le chauffage, faire le feu, défaire les bagages et faire les sacs de linge à apporter à laver, faire quelques courses. En sortant, je fais un crochet chez Daniela où Metrey est aller faire un tour aussi. Le crochet dure un peu, merienda et mate obligent. Géraldine passe à son tour chez Daniela et est surprise de me voir encore là. Son regard sombre m'incite à écourter la merienda (me va a matar, avais-je dit à Daniela). Parenthèse fermée, j'accomplis mes tâches les unes derrières les autres. Dans la foulée, et avant de mettre à cuire sur la parilla le morceau de cuadril acheté tout à l'heure, je me décide à aller courir sur la repu. Emelun a très envie d'y aller aussi, et je renonce aux baskets. Là bas, je joue avec lui pendant que Metrey, la veinarde, enfilent les (2) tours de parc. Retour à la maison, la tension reste palpable, mais la parilla semble contenter tout le monde, même l'asador que je suis -pour l'occasion-. Mais pour pénitence je mange après tout le monde. Repas fini, j'ai décidé que je ne me coucherai pas tard. Pas de blog ce soir. D'autant plus que Metrey veut partir pas trop tard sur la capitale demain et que j'ai prévu de l'y accompagner. Au moins en partie. Finalement, le temps de régler quelques détails en tout genre, je me couche tard quand même... Décidément...

    Chau Cristo Redondor

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    Vues sur la baie et Copacabana, Ipanema...

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    Studieux

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    En arrivant au dessus de l'Uruguay, et rencontre avec un avion

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    Et mon logo préféré : jeux olympiques d'été 2016 (pendant l'hiver carioca...)

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  • Commentaires

    1
    marraine delphine
    Dimanche 21 Juillet 2013 à 19:37

    Coucou ! C'est toujours avec plaisir que je suis (de loin...) vos aventures ... Quel beau voyage et quels paysages, Rio a l'air magnifique !! Je vois que vous avez tous l'air super contents, J'espère que l'on arrivera à se parler sur skype avant le second voyage... Je suis une veinarde et connais déjà la destination ... La faute à Géraldine... !

    Je vous embrasse tous et continue de travailler (même le dimanche !, je suis de garde !)

    Delphine

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